Malédiction grogna de contrariété, Cauchemar l'avais envoyer retirer les tique des inutile toute la mâtiné et maintenant elle l'avais laisser seul, a s'occuper de faire l'inventaire des réserve afin de préparer la mauvaise saison pendant qu'elle elle partait a la cueillette, récolté les plante nécessaire.

Voilà deux Lune qu'il était apprenti et il n'avais reçu aucun entraînement martial, ne sortait jamais ou presque du camp, et savait a peine chassé. Heureusement qu'avec les barbare qui composais sa tribus il y avais souvent des bataille dans les rang et des blessé, sinon il s'ennuierai a mourir.

En poussant un long soupir, Malédiction fini de trié la dernière pile de remède avant que l'odeur de l'un des siens ne lui parviennent. Il fut plus que ravi de reconnaître Carnage.  

C'était le seul chat avec qui il était plus ou moins amis. Les reines ne le laissait pas les approcher, trop effrayer à l'idée qu'il dévore leur petit. Ce qu'il ne ferais jamais, ses sœurs avait été un cas unique. Le second ne s'intéressait qu'a eux même, la plupart des guerrier, du fait de ses carences prenait pour un inutiles tellement il était frêle, son chef lui montrait de l'indifférence, alors qu'il était de plus en plus persuadé d'être de son sang. Quand a Cauchemar, son nom lui allait comme un chat. Elle était un mentor exécrable et désagréable a souhait.

Il fini par se retourner vers l'entrée, contemplant le matou gris entrer dans son antre.

-Bonjour Carnage, qu'est ce qui t'ammenne ?

(Désolé je suis nul pour les nom)

Le combat dura encore quelques minutes.
Que c'était-il passé ? C'est très simple.
En chassant, Carnage et l'autre combattant se sont disputé, car les deux avaient vu la même proie.
Carnage lui dit qu'il n'était qu'un idiot, que c'était parce-que ce bon a rien voulait à tout prix la même proie que Carnage, qu'il avait finit par la chasser.
Mais bien sûr, cela a finit en combat car le guerrier commençais a l'insulter à lui et sa famille, quelque chose que Carnage ne laisse pas passer. Oui, Carnage est quelqu'un qui se fait très respecter car il ne se laisse jamais faire.
Bref, revenons à nos deux combattants. Carnage chassa l'abruti jusqu'au camp, où ils commencèrent à se bagarrer. Carnage sauta sur le combattant, et enfonça ses griffes dans sa chair.
Celui-ci se se délivra et le combat continua, jusqu'à ce que Carnage lui déchira l'oreille et que l'autre décida d'abandonner.
Il était en pire état que notre jeune combattant, bien sûr, mais du sang coula quand même de son flanc.
Carnage partit voir la guérisseuse, Cauchemar, car ses frères et sœurs avaient insisté qu'il aille se faire examiner.
" Cauchemar ! " grogna le jeune combattant.
Les feuilles bougèrent, mais c'est Malédiction qui sortit de la tannière.
" Bonjour Carnage, qu'est ce qui t'ammenne ? " demanda-t-il.
Carnage le regarda gentiment, mais râlant à la fois.
Il avait une relation plutôt normal avec l'apprenti-guérisseur, le jeune mâle bleu et gris était toujours plus sympathique avec les jeunes chats.
Malédiction avait mangé ses sœurs, Carnage était choqué au début mais il trouva ça plutôt drôle à la fin.
Il faut de tout pour faire un monde, c'était clair, mais connaissant sa tribu carnivore, cela ne l'étonnait plus trop de voir des chats se faire bouffer par leurs propre famille.
Du coup, aucune reine veut voir Malédiction approcher leurs petits, ce qui peut se comprendre, mais vu qu'il est guérisseur ce n'est pas pratique.
C'est pour ça que c'est Cauchemar qui s'occupe le plus souvent d'eux.
Bref, il demanda à Malédiction : " Comme tu dois le voir un abruti m'a défier... Enfin, on s'est bagarrer et ma famille veut absolument que je me fasse examiner et soigner. Où est Cauchemar ? "
Il regarda de droite à gauche, mais apparemment elle n'était pas là. " Comment tu vas ? " demanda-t-il à l'apprenti avec un peu plus de sympathie.

Je vais bien, quand a Cauchemar elle est parti récolté des herbes, en grognant qu'on aurais jamais assez pour passez l'hiver. Cette cervelle de hérisson [j'ai toujours eu envie de dire ça] n'est pas fichu de comprendre que si je l'accompagnais on irais deux fois plus vite et les stock serais plein plus rapidement. À croire qu'elle refuse que je fasse quoi que ce soit.

Malédiction feula de colère avant de secoué la tête et de se reprendre. Il devait s'occupé de son ami.

Il s'approcha du matou et renifla la blessure et fut satisfait de voir qu'elle n'était pas infecté.

-Lèche ta blessure Carnage.

Malédiction se détourna et alla mâchée quelque feuille de Cerfeuil pour en extraire le jus et alla l'etaller sur la plaie à vif avant de retourner chercher des toiles d'araignée pour les étendre sur la plaie et ainsi en pêcher les indiction ainsi qu'arrêter l'hémorragie .

-Essaye de ne pas trop bouger aujourd'hui et ne fait pas ton héros si jamais un apprentis dois passé l'épreuve. Les prochains jours, je prefere en voir un mort plutôt que de te perdre toi.

En disant ces mot Malédiction avait posé sa queue sur les épaule de Carnage. Il ne voulait pas le perdre, Carnage était a ses yeux sa seule famille.

" Je vais bien, quand a Cauchemar elle est parti récolté des herbes, en grognant qu'on aurais jamais assez pour passez l'hiver. Cette cervelle de hérisson n'est pas fichu de comprendre que si je l'accompagnais on irais deux fois plus vite et les stock serais plein plus rapidement. À croire qu'elle refuse que je fasse quoi que ce soit. " feula Malédiction.
Carnage fit la grimace : " T'inquiète, tout ceci n'arrive pas seulement à toi... "
Il pensais à Griffe de Sang qui privilégiais tout le temps un incapable qui avait quitté leur tribu.
" Lèche ta blessure Carnage. " dit son ami, après l'avoir examiné.
Aussitôt dit, aussitôt fait. Berk, ça avait un goût de sang.
Carnage aimait goûter au sang des autres, mais pas à son propre.
" Essaye de ne pas trop bouger aujourd'hui et ne fait pas ton héros si jamais un apprentis dois passé l'épreuve. Les prochains jours, je prefere en voir un mort plutôt que de te perdre toi. "
Carnage regarda son ami sérieusement. " Je sais, je vais essayer de me tenir tranquille. Mais normalement aucun apprenti va passer le test aujourd'hui. Mais de toute façon c'est compliqué... Je me propose quand il y a un apprenti faible, j'essaie de ne pas trop le montrer au autres quand même. "
Seul Malédiction savait ce que Carnage ressentait, mais quelques autres devaient s'en douter. " Tu veux que je t'aide ? En quoi que ce soit ? " demanda le jeune guerrier à Malédiction.

-Tu veux que je t'aide ? En quoi que ce soit ? "

Cette question tira Malédiction de ses pensée continuellement sombre, et il regarda Carnage avec surprise.

-Et bien si ce n'est pas trop demander, et seulement lorsque tu sera rétabli, et j'y veillerais crois moi, j'apprécierais si tu pouvais m'enseigner quelque technique de combat et de chasse. Cauchemar semble s'y refuser depuis que je suis apprenti. Sans doute craint elle que je ne me serve de ces compétence pour tué d'autre chatons, mais je ne le ferais pas, je ne m'attaque qu'as des adversaire à mon niveau, et encore, mes sœur était mieux nourris que moi.

Un nouveau grognement échappa a Malédiction, qui se reprit pourtant.

-Et il faudra bientôt aller chercher de l'herbe à chat, la mauvaise saison est presque la mais les réserve sont au plus bas , mais ça je pourrais le faire seul.

" Et bien si ce n'est pas trop demander, et seulement lorsque tu sera rétabli, et j'y veillerais crois moi, j'apprécierais si tu pouvais m'enseigner quelque technique de combat et de chasse. Cauchemar semble s'y refuser depuis que je suis apprenti. Sans doute craint elle que je ne me serve de ces compétence pour tué d'autre chatons, mais je ne le ferais pas, je ne m'attaque qu'as des adversaire à mon niveau, et encore, mes sœur était mieux nourris que moi. " dit-il en grognant.
Carnage regarda son ami. Il fallait qu'il lui parle...
" Et il faudra bientôt aller chercher de l'herbe à chat, la mauvaise saison est presque la mais les réserve sont au plus bas , mais ça je pourrais le faire seul. " continua son ami, sans lui laisser le temps d'exprimer ses pensées. Mais Carnage n'abandonna pas.
Quelque chose le démangeais, il savait qu'il pourrais lui dire :
" Je comprends tout à fait ta réaction. Tu as eu un passé vraiment difficile... Mais quand on regarde mieux, tu ne devrais pas en vouloir à tes sœurs. Enfin, tu n'aurais pas dû. Tu devrais haïr ta mère pour ça, car tes sœurs n'y étaient pour rien. C'est les parents qui éduquent et qui sont fautifs. Je comprends que tu as craqué tout de même, j'aurais fait pareil à ta place. " Ok, il n'aurait pas forcément dévorer sa famille mais au moins blesser gravement ses parents.
Carnage ricana, un sorte de rire dégouté par la cruauté de certains (il pensa à la mère de Malédiction). Bon, il n'était pas mieux diraient certains. Mais pas bouché à ce point ! Surtout quand il s'agissait de jeunes chats.
Il ne voulait pas que Malédiction soit fâcher contre ses sœurs, qui n'y étaient pour rien.
" Moi j'aurais tué ma mère dés le début si elle m'avait fait subir cela. Bon, il y a vraiment des abrutis sur terre, faut juste s'y faire. Je veux bien t'aider à chercher de l'herbe à chat et à t'entraîner, j'ai du temps libre. Mais si cela ne t'embête pas je privilégierais l'herbe à chat d'abord. Comme ça j'aurais le temps de me reposer. " continua le jeune combattant.
Carnage s'assit et se lécha la patte, pour ensuite se frotter le visage.

À sa réponse Malédiction retint un soupir, il comprenait ce que lui disait son ami, c'était plus que logique.

-Je n'en veux pas a mes sœurs, je leur en aient voulus à l'époque, lorsque elle se plaignait d'avoir faim alors qu'elles ne connaissaient rien de la vraie famine. Je crois que c'est la goutte d'eau qui a fait déborder le ruisseau et l'as transformer  en torrent. Quand a ma mère elle a eu ce qu'elle méritait, je m'en suis assurer personnellement  et même si elle est morte je la haïrais toujours.

Le petit matou noir marqua une pause dans son discours, avant de reprendre.

-Merci d'accepté de m'aider à apprendre à me battre, et ne t'en fait pas nous avons encore un peu de temps pour l'herbe à chat. J'espere que nous en auront assez pour évitez que le mal vert nous atteigne cette année. Cauchemar m'as raconté que c'etait la pire épidémie qu'elle ait connu de toute sa vie.

[Merci de rajouter deux lignes à ton rp ]

" Je n'en veux pas a mes sœurs, je leur en aient voulus à l'époque, lorsque elle se plaignait d'avoir faim alors qu'elles ne connaissaient rien de la vraie famine. Je crois que c'est la goutte d'eau qui a fait déborder le ruisseau et l'as transformer en torrent. Quand a ma mère elle a eu ce qu'elle méritait, je m'en suis assurer personnellement et même si elle est morte je la haïrais toujours. " soupira Malédiction.
Carnage regarda son ami, se disant que ce qu'il disait était vrai. Tout a débordé.
La vrai fautive ici, c'était la mère.
" Merci d'accepté de m'aider à apprendre à me battre, et ne t'en fait pas nous avons encore un peu de temps pour l'herbe à chat. " continua l'apprenti-guérisseur.
Carnage se dit qu'ils devraient commencer maintenant pour l'herbe et plus tard les techniques, car le jeune combattant sentit encore la douleur du combat.
Mais une chose était sûr, il n'allait pas montrer de faiblesse à cause d'une douleur !
C'était sûr, un combat était plus attirant que de ramasser des plantes.
" C'est pas grave, commençons par les plantes et ensuite je veux bien t'entrainer en combat. Où par quoi veut-tu commencer ? "
En fait, ce n'était pas grave de commencer par le combat, il trouvait que chercher des plantes c'était vraiment ennuyeux et en plus sa blessure n'était pas profonde.